Les résultats des études demandées sur le pôle éducatif

Publié le par ROUPY - Quentin BARDET

PRINCIPE GENERAL DE L’ETUDE COMPARATIVE

L’étude a consisté à comparer deux modalités de réalisation du même projet : que ce soit l’option 1 ou l’option 2 que nous retiendrons, il y aura les mêmes éléments construits (bibliothèque, cantine, garderie…). L’étude a notamment permis de valider qu’avec les surfaces disponibles sur le site de l’ancienne école d’Etreillers, il y avait suffisamment de place pour tout construire.

Pour cerner  le coût respectif des deux options durant les 25 années où nous paierons cet investissement, nous avons retenus des hypothèses prudentes (taux d’intérêt…). La simulation n’est cependant valable que si les subventions, promises par l’Etat et le département, atteignent bien 80% de l’investissement.

ELEMENTS-CLE

Les communes concernées : Beauvois en Vermandois, Caulaincourt, Douchy, Etreillers, Foreste, Fluquières, Germaine, Lanchy, Roupy, Trefcon et Vaux en Vermandois – soit environ 250 élèves et 2 700 habitants.

Les éléments prévus : 9 classes (3 maternelles et 6 élémentaires) et une classe en variable d’ajustement qui peut basculer entre maternelle et élémentaire, en fonction de la fréquentation par tranche d’âge ; salles de repos et ateliers ; une « crèche scolaire » pour les enfants de 2 ans ; une salle d’éducation physique et rythmique ; une salle plurivalente (pour les activités de type gymnastique au sol, danse, combinées avec les activités telles que la musique ou les projections audiovisuelles) ; une cantine ; deux espaces de récréation ; une bibliothèque/centre documentaire ; des espaces informatiques.

Le mode de financement :

l’investissement est largement aidé par l’Etat, qui propose de financer 30 % de l’investissement, et par le Conseil général, qui pourrait prendre en charge la moitié du coût. Les 20 % restants sont supportés par les communes, en proportion de leur population.

les frais de fonctionnement, eux, sont intégralement pris en charge par les communes membres ; ils sont répartis pour moitié en fonction de la population et pour moitié en fonction du nombre d’élèves.

La comparaison du coût : les communes seraient amenées à étaler le coût de construction à leur charge sur 25 ans.

En termes d’investissement, le projet de transformation est un peu moins cher car la remise aux normes de classes existantes permet de réaliser 40 % d’économie sur le prix du neuf pour les salles concernées et il n’y a pas de terrain à acheter à la commune.

En fonctionnement, le projet neuf est un peu moins cher, car il n’y a pas de maintenance d’ascenseur et l’isolation serait un peu plus performante.

Publié dans Syndicats

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